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Par shaka65 le 25 Janvier 2014 à 23:14
Au hasard de trottoirs en quai de gare,
Vagues visions de tirages en images
Mon soleil est fait de sang
Mes nuits ont la blancheur du stérile
Que n’ais je pas en mon intérieur
Pas de prière, pas de vœux, non tout ceci est croyance
De vos dieux je ne vois d’évidence
Querelles sans fin pour un énième pouvoir des parties
Jeux de croix, de murs, aux édifices brillants du sang de vos sujets
Dites moi quand trouverez vous la vie dans cet incendie
A ces offrandes, ces dévotions, avez-vous perdus la notion de paix.
Mon ciel est sombre, autant que l’est votre cœur parfois
Arrêt, mouvements, la roue, les aiguilles tournent
Surenchères qu’elle est triste notre terre
Marcher des heures dans les villes n’est plus que sueur
A vouloir on se prive, à désirer on se frustre, à aimer on s’enchaine
Entendu que mon âme est noire, crois-tu ses mots amers
Raisonnement logique que je te lègue bien aisément
Allez disons que le narcissisme serait un idéal
Dis-moi quand pourras-tu me tendre la main
Sans autre intention que nous réunir pour faire un meilleur demain.
Shaka
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Par shaka65 le 20 Janvier 2014 à 21:56
Allez va bouffe les mes silences
Comme je supporte l’absence
Regarde le temps qui s’écoule
A attendre qui quoi on sait même plus pourquoi
Allez pleure en silence
Ça se dit pas ces choses là
Toi tu ne sais pas ta bouche ouvrir
Toi tu n’as que ta plume pour vomir
Dis leur que la ligne est franchie
Que la vie t’en as plus envie
Qu’à cette souffrance n’existe qu’une délivrance
Qu’à la larme ne s’oppose que la lame du lâche
Qu’aucun de leurs sourires ne réchauffe
Que t’as laissé le bateau s’échoué
Comme un soleil sur champs de blé
Sans combat presque sans pourquoi
Le fait est là ami
La vie ne t'aime pas
Shaka
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Par shaka65 le 8 Janvier 2014 à 00:22
Vas y ouvres fenêtres et volets
Réjouis toi de cet immonde
Pleure tes larmes d’or
Fouille dans les enfers des sens
Expose ton sourire à leurs rires
Essaie de survivre sur cette ile aux sévices
Laisse le vent léger t’envelopper de parfum
Vas y défais toi de toute cette crasse puante
Fais flotter tes cheveux à la brise de tes plaisirs
Enivres toi du puant de ces vices
Regarde le ciel briller autant que ton âme
Fuis du regard l’absurde d’un ciel lunaire
Ose parole divine jusqu'à absoudre le monde
Crache ton venin sur cette étoile qui s’éteint
Quand deux s’oppose rien ne semble osmose
Et pourtant entre deux proses, j’ose
L’espace d’un funeste, l’espace d’un céleste
Amour et haine en un chemin, a choisir
Chaque chemin pour chaque destin
Pour tous les chemins ont la même fin
Shaka
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Par shaka65 le 4 Janvier 2014 à 00:06
Et nos rêves envolés, poussière d’espoir
Un sourire s’enfuit laissant place au dérisoire
Et se tordent nos vies, comme mille tortures
Reviennent ces instants qui nous noient
Quand vient prémices d’un long désert
Reprendre navire, pour allez ou, je sais pas
Y’a plus de ports, plus de quais, juste ce vide, ce néant
Mon dieu qu’il est triste mon empire
Sans ses lumières et leurs sourires
Cette solitude qui te bouffe, qui t’épuise
A force de nuits sans sommeil, a force de rien
Même pas l’ombre d’une ombre a qui parler
Même pas l’ombre de moi-même, même elle s’est tirer
Allez dites moi qui tout va bien, que les autres sont là
Que votre générosité m’aidera, m’aidera a quoi ?
A trouver bonheur sans avoir à compter les heures
A plonger mes yeux dans le bleu de son ciel
A respirer le parfum d’une peau
Tendre la main pour autre chose qu’un mirage
Puisque puissant est le naufrage
Croyez vous que suffisent simples verbiages
A votre bon cœur m’sieur dames, pour un cœur qui s’éteint
Jamais plus non jamais plus il ne connaitra le frisson
Cette décharge dans le cœur, cette impatience idiote
Ces attitudes puériles des amours naissant
Les amours passés, rêvés, espérés ont finit de l’épuiser.
Shaka
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Par shaka65 le 31 Décembre 2013 à 02:06
Dis tu sais encore toi comment on embrasse
Ho tu sais c’est comme mon sourire
Il s’est perdu dans mes souvenirs
Rassure-toi, il parait que ça revient
Avec le temps, avec le vent
Un jour viendra, ou tes hivers seront printemps
Le ciel dégagé, les perles de pluie sur tes joues s’effaceront
Ton navire retrouvera son horizon
Un jour, viendra l’instant ou tu pourras lui sourire
Sous un saule pleureur mais toi tu auras cessé de pleurer
Le saule pour cacher, mieux, pour garder cet instant a l’abri comme trésor
Cet instant ou sans vraiment savoir quoi ni comment
Là sur un banc qu’on dirait témoin des amants
Ta vie prendra nouvel essor.
Shaka
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Par shaka65 le 25 Décembre 2013 à 01:54
Pardonnez moi si pour étrennes
Je n’ai à vous offrir que peines
Je ne suis pas heureux, c'est malheureux, mais je n'y arrive pas.
C'est une addiction au mal-être
Quand vous ne savez plus qu'un jour vous saviez rire
Quand le mal a choisi votre âme pour empire,
Quand tous les romantiques et les tristes du monde,
Ont choisi votre cœur pour se mettre à pleurer.
A trop rêver de mon unique, j’en ai oublié vos différences
A ces autres qui vous offre confidence
Qu’ils sachent que mon cœur est abstinence
Leurs blessures me paraissent bien douces
Quand c’est de ma vie que je suis orphelin
Avant de voir leurs empires colorisés en pixels
Faut il que s’efface cette brume qui m’invisible
Devrais-je sécher mes yeux sanglots
Changer ce muscle mort d’ennui, pour un vol aux infinis
Quand aimer me faisait prendre la mer pour trouver sublime
A vendre cette âme qui un jour s’est enfuie.
Un jour, un printemps j’aurais ta lumière
Dans les yeux dans le cœur à en faire prière
A ces idées qu’il faut être deux pour éviter le vide immense
Mais puisque ici nos amours ne sont qu’offenses
A chercher le passé perdu, le futur à te fuir
Et ce présent à souffrir à souffrir à souffrir ....
Shaka
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Par shaka65 le 20 Décembre 2013 à 22:51
Je ne serais plus un, je serais tous
Nous ne seront pas vieux, mais sans âge,
Au vent jetés les vœux pieux
Ils ont souvent le flot amer
Une route, un chemin ou un sentier
Nul doute il te faudra avancer
Lourde est ta croix, profondes sont les blessures
Allez toi seul sais les dérives les brulures,
Qu’il soit azur ou lunaire le ciel est tient
Que brillent étoiles ou voguent nuages
A l’infini ton âme un jour ira
Un souffle brise légère, parfum mélancolie
Tout s’emmêle tout se lie.
Douleur, rancœur, froideur, noirceur, pleurs
Tant de mots pour un seul cœur
Ha oui y’a bonheur, couleur et d’autre
Que bien souvent on ne vit que trop peu
Je serais un je serais tous
Quand ma croix un jour je poserais pour m’asseoir a vos cotés
Shaka
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Par shaka65 le 15 Décembre 2013 à 15:38
A ce lien qui nous unis, aux ondes qui nous relient
A cette face cachée, cette essence de l’autre
A cette hybridité de nos relations, ces parties de chacun
A ce puzzle quand chacun prend place
Aux conflits de nos doutes et de nos maux
Aux sereins de nos convictions plus qu’a nos connections
Le lien qu’on cherche à créer, à tisser sur une toile sans fil
A ces mots qu’on voudrait pour apaiser maux
A ces voyelles et consonnes placebo
A ces maux qui vous gènent qui vous peinent
A mes maux qui de vos jours font des nuits
A mes maux, au plus fort de vos doutes
A mes maux, à vos sanglots profondeur de vos peines
Quand le lien se sait lointain, quand le lien se sait nu
Absent de sens, de calcul, comme le bestial entre les reins
Vois-tu le désir d’un lien unique quand tu lis ces maux
Crois-tu au sublime de quelques mots jetés là
A la parole juste, dans une recherche du vrai
Me croiras-tu si je te dis que ces maux sont qui je suis
Valideras tu si de mes maux j’éprouve plaisir
Comprendras-tu si je n’attends rien de toi plus que ce que tu n’as
M’en voudras tu si dans ce virtuel, je suis le virus
Quand toi tu crée beauté de tes rêves, je t’oppose mes obscurs
Quand ta main vers moi se tend tu ne trouve que néant
Cher ami(e) regarde bien qui je suis , crois tu que seul main suffit
Dans nos échanges, je puise lumière et fragrance
Dans l’espoir unique d’approcher l’essence même de qui tu es .
Bien puérils, ces échanges parfois me renvoient aux mornes vallées de l’oubli
Je suis qui vous êtes, je suis votre miroir, le noir que vous rejetez
A comprendre mes maux je sais voir les vôtres,
Non je ne suis pas l’ange, bien placé pour croire en nos démons
Le prétentieux m’est puant, quand j’ose afficher ces mots
Shaka
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