•  

     

     

    Laissez mes mots mettre lumière à vos nuits

    Laissez votre corps de mes baisers se couvrir

    A l’espoir pourquoi pas

    De mettre sourire à vos lèvres

    Vous offrir fleurs pour vous mener au printemps

    Suivre le chant du vent dans les plaines.

    Vous m’apprendrez l’aimer

    Nous jouirons de nos amours rêvés,

     Je vous conterais  Baudelaire

    Quand les fleurs du mal voyagent à Cythère

    Mettre au fond du noir de vos yeux

    Le bleu de l’azur, le feu du désir   

     Tendre renaissance  en vos reins ondulant

    De soupirs en râle dans un infini firmament

    Du céleste a vous aimez, de vous je veux jouir .

    Shaka  


    7 commentaires
  •  

     

     

    Les pluies orphelines de larmes  

    Parce que le noir dans  l’obscur

    Ne signifie pas qu’il n’y a pas de couleurs

    Parce qu’ à vouloir perdre son âme

    Le vide fait briller le cœur pur

    Défait de ses peines et de ses peurs

    Beaucoup trop aride, trop rouge

    Mêmes les fantômes du passé ne bougent.

    A ces sourires oubliés, ses visages disparus

    A l’amour un jour j’y ai cru,

    A ces rêves oubliés, ces envies endormies

    Parce que dis-moi ce qu’est la vie

    Certains meurent jeune d’avoir trop vécu

    Ne me laisse pas mourir de n’avoir pas…..  Vécu.

    Shaka

     


    7 commentaires

  • 4 commentaires

  • 1 commentaire

  • votre commentaire
  •  

     

    L’océan de mes solitudes

    Atteindra un jour la vague de plénitude

    Aux tragiques des cœurs brisés

    Nos amours étaient appelés à devenir  passé

    A l’infini de nos souffrances

    Au loin sur l’océan tes rêves dansent

    Les heures qui passent ramène au ciel obscur

    Les tambours de nos amours ne battent  plus que froidures

    Adieu à vos cœurs, à vos yeux

    Au brulant désir, a vos nuits au fond du soyeux

    Tout quitter sur un soupir, tout quitter pour un soupir

    A la gloire des saisons où naissait ton sourire

    Au bleu de tes yeux qui fait naitre le feu des sens  

    Le corps qui brule de ton absence

     T’as laissé le présent s’effacer, et ce passé imparfait

    Peut  être un jour  je croiserais un autre regard ou j’y ‘croirais

    Shaka 


    2 commentaires
  • Aux condesendants, aux bien peu pensants

    J’ai le ciel en pleur , y’a des je t’aime qui meurrent

    Toi qu’a le cœur entre les reins

    Pauvre de nous , les amours sont naufragés

    Ces vulgaires au creux des seins

    Tu peux chercher  tu n’y trouvera que leur bave

    J’ai les sanglots du libertaire

    Ils ont tué l’amour a coup d’euro de dollar

    Un jeu de pouvoir , ou le trophé saura te faire mouiller

    Blondasse , pétasse , Paris finit sa nuit au fond  des lits

    En overdose , course aux dividendes , le CAC les faits jouir

    J’ai mal au cœur , elles perdent leur superbe

    Les chattes ronronnent pour Mr bling bling

    Le plastique dans les seins , a fondre pour quelque dollars

    Meme leur bouches se gonflent pour mieux les sucer .

    Je crois que les pixels de nos connections ont effacés le magnifique

    Le virtuel construit un ephemere ,la souris prete a bouffer la chatte

    Tout est vendu , le plaisir , le desir , draps de satin  un petit clic au matin

    Passe  ton tour , j’ai le cœur au bord des poings , l’acide aux fond des yeux

    J’aime les princesses ,sans artifices  , sans vers  a quoi je veux le vice …..

     

    Shaka  


    2 commentaires
  •  

     

    Un temps sans mots

    Comme un siecle de maux  

    Verras tu l’homme sans ombre , l’ombre seule

    L’abre doucement s’endort  nu de ses feuilles

    L’hiver s’acceuille quand on a la flamme

    L’hiver est déjà quand le cœur combat

    Le soudain n’est plus  quand les heures fuient

    Demain sera aujourd’hui comme hier

    La pendule sombre n’est là que pour prendre poussiere

    Peu a peu disparait l’ombre dans les couloirs du temps

    Peu a peu s’efface l’homme comme disparait une tache

    Dans le nuisible , sans rien de visible , dieu que cela est risible

    Etre et n’avoir jamais été , dis moi quand tout ça finit .

     

    Shaka 

     

    pensées hivernales

     

    Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage, 
    Traversé çà et là par de brillants soleils ; 
    Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage, 
    Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils. 


    Voilà que j'ai touché l'automne des idées, 
    Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux 
    Pour rassembler à neuf les terres inondées, 
    Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux. 


    Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve 
    Trouveront dans ce sol lavé comme une grève 
    Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ? 
    Ô douleur ! ô douleur ! Le temps mange la vie, 
    Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeur 

    Charles  Baudelaire 

     


    4 commentaires



    Suivre le flux RSS des articles
    Suivre le flux RSS des commentaires