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Laissez mes mots mettre lumière à vos nuits
Laissez votre corps de mes baisers se couvrir
A l’espoir pourquoi pas
De mettre sourire à vos lèvres
Vous offrir fleurs pour vous mener au printemps
Suivre le chant du vent dans les plaines.
Vous m’apprendrez l’aimer
Nous jouirons de nos amours rêvés,
Je vous conterais Baudelaire
Quand les fleurs du mal voyagent à Cythère
Mettre au fond du noir de vos yeux
Le bleu de l’azur, le feu du désir
Tendre renaissance en vos reins ondulant
De soupirs en râle dans un infini firmament
Du céleste a vous aimez, de vous je veux jouir .
Shaka
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Les pluies orphelines de larmes
Parce que le noir dans l’obscur
Ne signifie pas qu’il n’y a pas de couleurs
Parce qu’ à vouloir perdre son âme
Le vide fait briller le cœur pur
Défait de ses peines et de ses peurs
Beaucoup trop aride, trop rouge
Mêmes les fantômes du passé ne bougent.
A ces sourires oubliés, ses visages disparus
A l’amour un jour j’y ai cru,
A ces rêves oubliés, ces envies endormies
Parce que dis-moi ce qu’est la vie
Certains meurent jeune d’avoir trop vécu
Ne me laisse pas mourir de n’avoir pas….. Vécu.
Shaka
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L’océan de mes solitudes
Atteindra un jour la vague de plénitude
Aux tragiques des cœurs brisés
Nos amours étaient appelés à devenir passé
A l’infini de nos souffrances
Au loin sur l’océan tes rêves dansent
Les heures qui passent ramène au ciel obscur
Les tambours de nos amours ne battent plus que froidures
Adieu à vos cœurs, à vos yeux
Au brulant désir, a vos nuits au fond du soyeux
Tout quitter sur un soupir, tout quitter pour un soupir
A la gloire des saisons où naissait ton sourire
Au bleu de tes yeux qui fait naitre le feu des sens
Le corps qui brule de ton absence
T’as laissé le présent s’effacer, et ce passé imparfait
Peut être un jour je croiserais un autre regard ou j’y ‘croirais
Shaka
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Aux condesendants, aux bien peu pensants
J’ai le ciel en pleur , y’a des je t’aime qui meurrent
Toi qu’a le cœur entre les reins
Pauvre de nous , les amours sont naufragés
Ces vulgaires au creux des seins
Tu peux chercher tu n’y trouvera que leur bave
J’ai les sanglots du libertaire
Ils ont tué l’amour a coup d’euro de dollar
Un jeu de pouvoir , ou le trophé saura te faire mouiller
Blondasse , pétasse , Paris finit sa nuit au fond des lits
En overdose , course aux dividendes , le CAC les faits jouir
J’ai mal au cœur , elles perdent leur superbe
Les chattes ronronnent pour Mr bling bling
Le plastique dans les seins , a fondre pour quelque dollars
Meme leur bouches se gonflent pour mieux les sucer .
Je crois que les pixels de nos connections ont effacés le magnifique
Le virtuel construit un ephemere ,la souris prete a bouffer la chatte
Tout est vendu , le plaisir , le desir , draps de satin un petit clic au matin
Passe ton tour , j’ai le cœur au bord des poings , l’acide aux fond des yeux
J’aime les princesses ,sans artifices , sans vers a quoi je veux le vice …..
Shaka
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Un temps sans mots
Comme un siecle de maux
Verras tu l’homme sans ombre , l’ombre seule
L’abre doucement s’endort nu de ses feuilles
L’hiver s’acceuille quand on a la flamme
L’hiver est déjà quand le cœur combat
Le soudain n’est plus quand les heures fuient
Demain sera aujourd’hui comme hier
La pendule sombre n’est là que pour prendre poussiere
Peu a peu disparait l’ombre dans les couloirs du temps
Peu a peu s’efface l’homme comme disparait une tache
Dans le nuisible , sans rien de visible , dieu que cela est risible
Etre et n’avoir jamais été , dis moi quand tout ça finit .
Shaka
Ma jeunesse ne fut qu'un ténébreux orage,
Traversé çà et là par de brillants soleils ;
Le tonnerre et la pluie ont fait un tel ravage,
Qu'il reste en mon jardin bien peu de fruits vermeils.
Voilà que j'ai touché l'automne des idées,
Et qu'il faut employer la pelle et les râteaux
Pour rassembler à neuf les terres inondées,
Où l'eau creuse des trous grands comme des tombeaux.
Et qui sait si les fleurs nouvelles que je rêve
Trouveront dans ce sol lavé comme une grève
Le mystique aliment qui ferait leur vigueur ?
Ô douleur ! ô douleur ! Le temps mange la vie,
Et l'obscur Ennemi qui nous ronge le coeurCharles Baudelaire
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