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dérive
Les paradis perdus
Ceux qu’on ne croyait plus
Sur les chemins du temps
Sonne le glas de nos émois
La vie a monté des murs
Avec le temps, jusqu’à fissure
Quand le mur suffit plus, ne sera jamais assez haut
Dérive mélancolie, remords et regrets , trop.
A rester au fond de soi
Personne n’y viendra
Peur, pleurs et les heures silence
Le décor change, pas l’abstinence
De toi.
Shaka
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Commentaires
Bonsoir Shaka,
Je viens à pas de velours déposer quelques mots d'amitié.
Il suffit seulement d'un pas, un tout petit pas...
pour faire tomber tous les murs.
Amitiés,
Sérénita