• dérive

    Les paradis perdus

    Ceux qu’on ne croyait plus

    Sur les chemins du temps

    Sonne le glas de nos émois

    La vie a monté des murs

    Avec le temps, jusqu’à fissure

    Quand le mur suffit plus, ne sera jamais assez haut

    Dérive  mélancolie, remords et regrets   , trop.

    A rester au fond de soi

    Personne n’y viendra

    Peur, pleurs et les heures  silence

    Le décor change, pas l’abstinence

    De toi.

    Shaka


  • Commentaires

    1
    Samedi 20 Février 2016 à 18:35

    Bonsoir Shaka,

    Je viens à pas de velours déposer quelques  mots d'amitié.

    Il suffit seulement d'un pas, un tout petit pas...

    pour faire tomber tous les murs.

    Amitiés,

    Sérénita

    Suivre le flux RSS des commentaires


    Ajouter un commentaire

    Nom / Pseudo :

    E-mail (facultatif) :

    Site Web (facultatif) :

    Commentaire :