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a souffle de vie
Alors il traîne aux vents, les épaules basses lasses du fardeau d’une vie perdue, il aurait voulu aimer autant que ces mots l’expriment, avoir besoin d’elle comme la lune du soleil, à la fleur de ses nuits d’un sourire illuminer son ciel, d’un navire échoué lui offrir le plus beau des voyages.
Ces écorchures, cette armure qu’on se met à vider le cœur, d’un libertaire sans drapeau d’un cavalier sans tète ce ciel n’est pas si divin, quand rien ne guérit pas même l’oubli. Les jours de fêtes qu’on veut oublier, les rives s’échappent comme l’oiseau qui a perdu son nid, sans attache sans quai ou poser valises.
Toi la fille du pays de Ferry on apprends pas a l’école ce qu’il faut pour aimer, on apprend pas comment aimer, on nous donne les mots mais souvent on obtient des maux. En mémoire, cartésien ou confus le cœur se nourrit de nos blessures de nos erreurs faut il atteindre la mort pour savoir aimer, aimer à la force d’un volcan autant qu’au calme d’une mer d’huile. Et si revoir ces conceptions de concessions d’adoration sous le vent des amers des chimères on laissait le vague a l’âme s’essouffler comme un feu de joie s’éteint dans l’indifférence parce que les invités sont partis.
Je n’ai pas su t’ouvrir la porte sur un autre monde, te faire voir Venise d’un baiser dans le cou, jusqu’a bout du monde vivre les impossible. Quand mes pensées s’enfuient vers toi c’est mon ciel qui flamboie parce que c’est toi mon inconnue. Et jusqu'à bout de souffle, jusqu’à bout de vie, pour espérer une place dans tes bras.
Shaka
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