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    Il y a ton sourire qui s'élève
    C’est comme une lueur d’espoir
    Il y a l’ombre et la lumière
    Au milieu notre trajectoire
    Il fallait choisir une route
    Alors on a choisi la pluie
    Acide à s’en brûler le cœur
    Pourvu que planent les esprits
    Il y a tes yeux qui me tuent
    Quand tu me dis que c’est fini
    Il y a le vent de nos sanglots
    Qui souffle pour une amnistie
    Mais rien n’arrêtera la lutte
    Rien ne séchera cette pluie
    Non rien ne finira la chute
    Car rien ne finit l’infini

    Rien ne desserrera nos mains
    Rien n’éteindra l’éphémère
    Nous forcerons, nous forcerons nos destins
    Puis nous perceront les mystères
    Il y a les lois de l’empire
    Et les trous noirs dans ma mémoire
    Il y a le meilleur et puis le pire
    Au milieu notre trajectoire
    Combien tu vends ta liberté,
    Dis, combien tu vends ta poésie
    Moi j’ai même vendu mon âme au diable, pour ton sourire
    Puisque tout est aléatoire 
    Dans le chaos des univers
    Puisque insoluble est la réponse 
    Et puisque déjà me manque l’air
    Et qu’importe les directions
    Jusqu’au delà de la limite
    Tous les chemins mènent à tes yeux
    Tous les chemins mènent à la fuite

    Rien ne desserrera nos mains
    Rien n’éteindra l’éphémère
    Nous forcerons nos destins
    Nous perceront les mystères
    Rien ne desserrera ces poings
    Univers, univers 
    Nous retrouverons nos chemins
    Nos idées puis l’univers

    Il y a ton sourire qui s'élève
    C’est comme une lueur d’espoir
    Il y a l’ombre et la lumière
    Au milieu notre trajectoire, oui
    Il fallait choisir une route
    Alors on a choisi les pluies
    Acide à s’en brûler le cœur
    Pourvu que planent les esprits.

    Damien SAEZ


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