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    Pas de place dans  cette vie pour le silence

    Celui qui apaise, celui qui prend sens

    Le miracle en somme, serait de le partager

    Comme si les mots avait finit de briller

    Les mots comme nos traces

    Un jour aussi s’effacent.

    Y a  la route comme une blessure

    Bordée de chardons  et d’ordures

    Celle du fardeau et des regrets

    Celle qu’on ne finit jamais

    Et puis y a le chemin

    Celui qui vient des autoroutes solitudes

    Sinueuses, tortueuses, vides de plénitude,

    Et puis ya le chemin

    Celui du solitaire qui va au devant de soi

    Celui de ces nuits qui te guident

    Loin des tristes apparats

    Disparaitre des images polaroid,

    Rouvrir son propre livre

    Toucher du doigt, du cœur  l’ivre

    L’ivresse  de vivre,

    Respirer, pas à pas renaitre de soi

    Disparu le linceul glacial de l’effroi

    Vivre pour soi, avec soi.

    Shaka

     

     

    Te souviens-tu dans tes nuits blanches

    As-tu gardé  souvenirs 

    Des vents qui t’inspirent

    Te souviens-tu le cœur qui se déclenche  

    Pour du  faux, pour des insipides ……..


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    Coucher de soleil oublié

    Ne demeure que la nuit dans l’immensité

    A tort ou a raison

    J’aurais aime te faire perdre raison

    Je sais les chemins de traverse

    Les choix a faire pour mener a l’ivresse

    Et mettre sourires a tes lèvres

    Errer dans tes rêves

    Colorer le blanc de tes nuits

    Quand les monstres  ne sont plus que nos propres vies

    Dans le satin de tes nuits

    T’emmener au-delà du plaisir

    Flirter avec le sublime le divin

    Et te faire oublier tous ces tristes matins   

    Que tes yeux se perdent dans  l’horizon

    Et te faire découvrir d’autres  paysages que ces grises prisons

    Etre la flamme  qui brule dans tes yeux

    Etre ton trésor plus beau que celui de tes doigts  

     Roses, jasmins ou  chrysanthèmes

    Toutes les fleurs ne seront que poèmes

    Pour te dire  je t’aime


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  • A ce temps qui passe

    A ces traces qui s’effacent

    Au cœur sur l’asphalte

    On s’en fout que tu t’exaltes

    Pour un sourire, le profond d’un regard

    Tu finiras toujours hagard

    Parce que ton cœur s’enflamme jusqu'à bruler

    Parce que le bonheur comme le malheur

    Toi, tu les vis à l’excès jusqu'à en hurler

    Ton âme elle oscille entre certitudes et peur

    On  s’en fout du profond

    Les autres, ils ne veulent qu’aller au fond

    On s’en fout de  voir ses yeux dans l’horizon

    Les autres, ils ne veulent que soumission

    Et puis toi t’es bizarre

    T’as le cœur blizzard

    T’as le cœur noyé d’éphémères

    Et puis toi t’as les yeux de l’amer

    Toi tu cherches le cœur aurifère

    Quand les autres ne veulent que se la faire.

    Il est finit le temps des amours sincères

    Ne reste que de tristes ébats

    J’en ai finis de ces combats pour quelques émois.

    Shaka


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  • Au plus profond des yeux de l’enfant

    Au plus Haut comme le cerf volant

    Une nuit à la sentir s’élevée

    Une nuit à se sentir plus haut

    A vouloir une vie plus colorée

    A tire d’aile encore plus haut

    Seulement aux  grands vents, au céleste

    Je suis en bas, c’est ici que je suis quand le temps va 

    Le ciel bleu sans cesse devient gris sans éclat

    A l’immaculée finir la course du temps

    Au plus haut comme le cerf volant

    Prendre le temps, le temps du vent

    Une différente envolée

    Loin des volutes d’un monde désabusé

    Un dernier show, une dernière beuverie

    Ressentir encore une fois la vie

    Cœur lacéré, usé de ne battre que pour des insipides

    Revenir a soi, quand l’autre n’est plus qu’aride

    Laisser  s’épuiser les derniers mots

    Prendre un dernier envol pour oublier les maux

    Aussi haut que le cerf volant

    Et colorer encore quelques instants…..

    Shaka


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  • Sans la solitude, l'Amour ne restera pas très longtemps à tes côtés.

    Parce que l'Amour a aussi besoin de repos, pour pouvoir voyager dans les deux et se manifester sous

    d'autres formes.

    Sans la solitude, aucune plante ou animal ne survit, aucune terre n'est fertile très longtemps, aucun

    enfant ne peut apprendre la vie, aucun artiste ne peut créer, aucun travail ne peut grandir et se transformer.

    La solitude n'est pas l'absence de l'Amour, mais son complément.

    La solitude n'est pas l'absence de compagnie, mais le moment où notre âme est libre de converser avec nous et de nous aider à décider de nos vies.

    Alors, que soient bénis ceux qui ne redoutent pas

    la solitude. Qui n'ont pas peur de se tenir compagnie,

    qui ne cherchent pas désespérément une occupation ou un amusement, ou quelque chose à juger.

    Parce que celui qui n'est jamais seul ne se connaît plus lui-même.

    Et celui qui ne se connaît pas se met à redouter le vide. Mais le vide n'existe pas. Un monde immense se cache dans notre âme, attendant d'être découvert. Il est là, avec sa force intacte, mais il est tellement nouveau et tellement puissant que nous avons peur d'en accepter l'existence.

    Parce que le fait de découvrir qui nous sommes nous oblige à accepter que nous pouvons aller beaucoup plus loin que nous n'en avons l'habitude. Et cela nous effraie. Mieux vaut ne pas prendre tous ces risques, puisque nous pouvons toujours dire : « Je n'ai pas fait ce que j'aurais dû parce qu'on ne m'a pas laissé faire. » C'est plus confortable. C'est plus sûr. Et, en même temps, c'est renoncer à la vie même.

    Malheur à ceux qui préfèrent passer leur vie à dire : « Je n'ai pas eu l'occasion ! »

    Parce que jour après jour ils ont coulé un peu plus dans le puits de leurs propres limites, et le moment viendra où ils n'auront plus de forces pour s'en échapper et retrouver la lumière qui brille par l'ouverture au-dessus de leur tête.

    Et bénis soient ceux qui disent : « Je n'ai pas le courage. » Parce que ceux-là comprennent que ce n'est pas la faute des autres. Et tôt ou tard ils trouveront la foi nécessaire pour affronter la solitude et ses mystères.

    Et pour ceux qui ne se laissent pas effrayer par la solitude qui révèle les mystères, tout aura un goût

    différent.

    Paulo Coelho 


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  • J'ai mis le feu sur les plaies de mon cœur

    Pour ne pas en laisser paraître la noirceur

    La souffrance a cette force qui ternie les couleurs.

    Les liens créés pour les défaire

    Quand ils ont perdus de leurs mystères

    Pour oublier les jours de fêtes, amères

    On à tous un jour cherché trace

    D’un divin, d’une sublime, avant que vie ne s’efface

    Courir après l’autre pour ôter cuirasse.

    Avant de voir l’autre partir

    Avant de perdre sourire

    Les  imparfaits ne gardent que soupirs.

    J’ai mis les feux maintes fois 

    Pour, des supplices, ne pas subir la loi 

    Puis quand viennent rides s’éteint une certaine foi.

    Aux sanglots du minot, aux morsures amoureuses

    Aux aurores funestes, y a plus que pleureuses

    Pour accompagner ton chemin ton errance douloureuse.

    Tic tac les aiguilles du temps jamais ne se lassent

    Les éphémères  sont feuilles au vent

    Au temps qui passe, de guerre lasse

    Les fleurs du mal sont devenues feuilles mortes,  au néant.

    La colombe a tire d’aile s’en est allé

    Le corps et le cœur s’et épuisé

    Ces mots, ces étreintes oubliées

    Ouais les solitaires aiment bien pleurer.

    A regretter ce qu’on a perdu

    Au temps de l’insouciance éperdue

    Aux croix mises a dos, mise a nue

    Et toujours seul face a la mort, on fait sa mue.

    A cherche son étoile

    A combattre les maux

    A  chercher le sens

    A écrire poésie

    A ce temps qui nous emporte

    A vouloir son soleil

    A ces nuits sans repos

    A la larme incessante

    Aux océans de nos regrets

    A ces hivers en toute saison

    A cette fuite pour ailleurs

    A cette fuit pour nulle part

    A fuir les imparfaits d’un passé naufrage

    On finit toujours seul face a la mort

    L’autre n’est que ton assassine

    L’autre ne porte que ton linceul

    Et reviens en mémoire ivresse

    Et reviens en mémoire les oubliées

    Et reviens en mémoire liesse

    Et reviens en mémoire les heures savourées

    Et viens souffle mélancolie

    La colombe a perdue ses ailes .  

    Shaka


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