•  

                                                     

                                 

     

    au feux eternels des ces guerres 

    je m'abreuverait de ces braises

     

    Sous le chants des defaites 

    allons viens toi c'est la fete 

    au mal qui fait chavirer le coeur 

    aux plus profonds tourments 

    shaka 

     


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  • Chaque jours plus lourds, chaque jours plus làs

    Quand elles aiment c’est elles qu’elles aiment

    S’enfuir doucement sans bruit loin de ce bruit

    Il n’y que pour elles qu’elles aiment

    Sevrer de rêves et d’espoir, il est tard

    Elles te voient pour se voir elles

    Venus et mars  déploient le noir

    A leurs supposition sorties  du dérisoire

    Tes vains mots ne sont qu’illusoires

    Elles t’aiment pour elles

    Sans regret te vident de ton essence

    Sans remords détruisent tes sens

    Y a qu’a elles qu’elles croient

    Et tu perds pied à ne savoir l’aimer

    Et tu perds foi à ne pouvoir l’aimer

    Tu n’es que le pion d’une dame

    Jeux interdit ou déjà tu es mat

    Toi , toi t’es la tu sais plus pourquoi

    Ton cœur c’est une éponge

    Ton cœur c’est le néant

    Quand elles se sont abreuvées de ton âme

    shaka 



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  • J'ai le coeur qui saigne des larmes de bonheur

    J’ai le rendez vous manqué

    Qui reste là comme une peur

    J’ai la nuit qui s’épuise aux fond de mes rêves

    Ces rêves à la magie d’une présence ,

    J’ai le feu du fidele qui consume

    Cette âme en combat

    J’ai les yeux qui se noient

    Dans cette guerre du serein et du noir

    J’ai  la vie qui s’enfuie au demain

    Ce demain volupté de l’espoir

    Ce prochain perdu dans ces matins

    Glacial perfide et vil  il est là

    Terrassant le bleu pour te rendre les bleus

    A jamais ancrée il lacère

    A jamais il jubile

    De cette âme confuse

    Il en puise l’essence

    Il en diffuse  les venins

    Il n’y a que le plaisir qui ce gausse

    A mon cœur que je donne

    A mon cœur qui se perd dans ces horribles

    Je puise la lumière qu’elle a fait naitre

    shaka 



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  • Tu viens  on y va , tu viens tout là bas

    Sans retenue le cœur à nu

    Mettre bas cette armure, évincer  l’impur

    Tu viens on y croit, tu viens tout là bas

    Provoquer  du vilain la mue

    Sortir les anges  de leurs propres murs

    Tu viens moi j’y crois, tu viens tout là bas

    Impatience, déraison dieu qu’il serait bon

    Toujours petites  les secondes dans ses bras

    Toujours trop grandes les heures  sans voix

    Je berce de quelques maux la grande émotion

    Tu viens on y va , là ou tu es

    Tu viens on y va , moi j’y serais

    Sous l’acide de nos maux

    Sous  la mélancolie de ces mots

    Ecorchés on y va , chacun au bout de soi

    Battements  doucement  mélodiques

    Le cœur à l’oblique

    Viens on y va , viens près de moi

    shaka  



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  •  

     

    Le son d’une voix, le subtil d’un parfum

    A mille maux dans la gueule du serpent

    Je veux bien reprendre ce venin

    Pour devenir son bel aimant,

    Transmettre en son cœur le virus

    Laisser se propager le poison  

    Qui provoque ce doux rictus

    Jusqu'au manque, jusqu'à l’explosion,

    En ce monde avide et aride

    En exclusif devenir son dealer

    Pour que tout soit, à ses yeux,  limpide

    Que son visage soit plus beau que le bonheur,

    A me vider le cœur d’amour

    Pour remplir le sien

     Passé par delà les jours

    Transformer ses nuits en divin.

    Shaka 


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  •  

                                                                                  


    J'aurais beau parler toutes les langues de la terre et du ciel, s'il me manque l'amour, je ne suis rien...   

     

                                                                                        

    Passer tout ton temps à attendre

    Cette seconde chance

    Cette pause qui arrangerait tout

    Il y a toujours une raison de ne pas se sentir complètement bien

    Et c'est dur à la fin de la journée

    J'ai besoin de distraction, ou d'un beau soulagement

    Les souvenirs suintent de mes veines

    Laisse-moi être vide, oh, et sans poids et peut-être

    Que je trouverai le repos ce soir

     

    In the arms of the Angel

    Dans les bras de l'Ange

    Fly away from here

    S'envoler loin d'ici

    From this dark cold hotel room

    De cette chambre d'hôtel sombre et froide

    And the endlessness that you fear

    Et de cette éternité que tu crains

    You are pulled from the wreckage of your silent reverie

    Tu as été tiré des ruines de ton rêve silencieux

    You're in the arms of the Angel

    Tu es dans les bras de l'Ange

    May you find some comfort here

    Puisses-tu y trouver du réconfort .

     

    Tu es si fatigué de cette vie ennuyeuse que chaque fois que tu te retournes

    Il y a des vautours et des voleurs dans ton dos

    L'orage continue de virevolter

    Tu continues de bâtir les mensonges que tu inventes pour tout ce dont tu manques

    Ca ne change rien

    S'échapper une dernière fois

    Il est plus facile de croire

    À cette douce folie, oh, cette glorieuse tristesse

    Qui me met à genoux .

     

     


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  • Et se noyer le cœur

    Comme si c’était du bonheur

    Prolonge les soirées pour que les nuits s’effacent

    Courir  jusqu'à effacer toutes traces.

    Comme un dieu qu’a perdu son royaume

    Entendre ces voix qui te mènent à lumière,

    Tout ce qu’on n’explique pas

    Comme la rose dans un champ  de chrysanthèmes

    Comme une lumière au profond des abysses,

    Eteindre ce feu qui consume l’âme

    Plaie béante sur un océan de laideur

     Y a quelque chose comme une  lame

    Planté là par on ne se sait plus quoi, qu’elle.

    Cette envie de fuir ce qu’on ne voit pas

    Ce qu’on ne sait pas  

    Et sortir soleil de derrière ces brumes

    Sécher se regard des marées d’écumes ,

    A trop vouloir vaincre

    A trop surement craindre

    Trop de quoi pour autant de si

    Est-ce que tu la construis ta vie ?

    Par les braises de l’ardent désir

    La flamme ne se rallume pas pour souffrir

    A ce cœur qui ne bats plus

    La mémoire comme futur

    Quoi ? des larmes pour l’impur

    A ne pas finir ces rêves on crève,  

    Et puis quoi le triste éternel  ici bas

    N’a que le temps pour être roi

    A remords et regrets pour dessert.

    Au bout des jours, la faim de nuit sans blanc

    Hurler au silence le vide de soi

     A lisière des enfers chercher mains tendues

    Chercher une reine qui nous mène aux jours venus .

    Shaka


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  •  

     confusion


    Tu y crois toi à l’autre, au cœur qui s’emballe au profond des sentiments

    Dis-moi quand tu as déjà  vécu intensément

    Dis lui ce que les anges si  tendres  et si beaux

    Arrive à te faire quand tu susurre divin  mots,

    T’’arrive au creux de leurs mains

    T’arrive jusqu’au creux de leurs  reins 

    T’as déjà le cœur en train de se briser

    Car quand elle te prenne ce que tu offres 

    Elle garde jusqu'à la lie, le feu de ton âme .

    Aimer sans choisir un chemin tout tracé

    Sans suivre sentier déjà balisé

    A se perdre l’âme au danger des ardents désirs

    Funambule des cœurs blessés aride jusqu'à l’ire

    Défiant défaites plus que conquêtes 

     Aux eternels regrets sans abus faire la fête .

    Solitude au milieu de tous pour rien

    M’auras tu délivrer de ces tristes instants

    Tout est noir, ainsi va le triste

    Tout s’efface quand demeurent les cicatrices

    Et laisser perles de peines disparaitre

    Jusqu'à l’aride , désert sans chaleur sans douceur

    Quel  envie de battre pourrait avoir ce cœur 

    shaka



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