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                   "La vérité de demain se nourrit de l'erreur d'hier."-       Antoine de Saint-Exupéry



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  • Triste désir quand s’effacent  les rires

    Morne errance quand  persiste l’absence

    Pale mélancolie quand disparait source de vie

    Aux détours  de ces chemins brouillard

    Couloirs sans fin des espoirs

    Chercher l’etre, 

    Quand l’automne se substitut au printemps

    Monte des vagues  d’écume a ces yeux

    Qui ne voient plus  que le noir inquiétant

    Prêt à fermer la porte a tout vœux

    Sans peine l’assaillent  tourments et amers

    D’un cœur perdu sur la plage d’une  mer

    Aux silences inquiétants juste  avant l’orage

    Aux lueurs, pales esquisses d’un soleil  qu’on voudrait pour soi

    Ces futiles évidences que s’achève la  danse

    De sagesses en dérive quand s’éloigne la rive

    De douleurs en dégout  est ce le seul chemin ?

    Jusqu’au matin qu’on veut  là déjà demain

     Pour pousser les ombres hors de ces nuits   

    Non je n’ai que du triste à offrir

    Quand j’entends pas ton sourire .

    Shaka 


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  • les silences pour liens entre  le reel et l'ireel 

    comme un trait d'union a vastes confusions 

    juste quelques mots d'amour 

    dit tout bas , dit la douce voix 

    le fera t'on un jour 

    le vivra t'on ce pourquoi ce coeur bat

    life goes on  

    A se bruler les coeurs 

    embrasons nous unissons nous 

    tiens ,prends  cette main

    emenne la elle et le reste 

    loin de cette  enfer funeste 

    embrasons nous au feu de l'amour  

    puisqu'à la fin ne reste que poussiere 

    shaka 

     

     


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  • Là maintenant  dans l’instant

    Douceur infinie d’une caresse

    Parce qu’ils sont ces amants

    Que rien ne peut mener à détresse,

    Les mains comme le naturel du fusain

    Délicatement  effleurent  le parfait de ses contours

    Découverte de  ce corps jusqu'à  en apprécier le divin

    Voile indécent de deux corps enlacés par l’amour,

     Laisser les sens choisir le chemin

    Dans une parfaite harmonie jusqu'à ce que vienne

    La douce rosée d’un matin apaisant

    Et tant que ce n’est que rêve  

    Les minutes comme des heures

    Le silence comme musique  

    Sans jamais être las

    Que tu parcours  le chemin que c’est d’attendre ……

    Tant que tu seras là

    shaka


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  • Cap ou pas cap

    De se perdre l’un dans l’autre

    Pour se retrouver l’un et l’autre,

    D’écrouler ces  barrières qui nous entrave

    A se pervertir  dans nos supplices,

    De laisser les sens exploser jusqu'à l’indécent

    Poussé par l’envie  de savourer ces instants,

    De s’unir dans le vrai, dans l’abstrait

    Qu’a chaque seconde plus prêt

    La passion nourrisse ces deux corps en harmonie

    Jusqu’au   point de non retour  

    A l’aube d’un nouveau jour

    Attendu et sublime de tendresse ,

    De s’ouvrir jusqu’au précipice

    Et laisse monter en nous le fruit de ce désir

    Comme des affamés du jouissif,

    S’aimer comme deux amants fous

    Jusqu'à l’oubli de tout …….

    Shaka  


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  •  

       

    Qui du mot posé ça et là 

    au regard qui   exprime sans un mot

    parait le plus a meme d'exprimer 

    les fleurs d'un coeur 

    shaka 

     

     

     


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  • nothing else matters


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  • Devant le miroir aux  souvenirs

    Et regarder les histoires oubliées

    Rester la comme un con sans rien dire

    Revivre ces instants  blessés

    Comme loup perdu sans sa meute

    Don quichotte en perd  son hidalgo

    Je vous attends  vous l’hystérique

    Au bonheur destructeur, sans peur

    Perdurer, et vive la mort

    Toi le regard perdu  tu sais les torts

    Et les silences qui viennent au dessus du manant

    Le sortir de ses pensées

    A toujours vouloir être autre on oubli soi

    Et pousser l’extrême du supplice

    Ces cartes postales jamais affichées

    Ces mots jamais dit, ceux  que l’on cache,

    En delirium de maux

    Recherche tendresse déphasée

    Discontinu toujours dans l’inconnue  

    La vérité sur le bout des doigts

    Cigale ou fourmi les chants se sont endormis

    Et tu cherches ce a quoi tu crois

    Par delà l’espace , tendre infini  

    A trop désir de rêve , ta tète se perd…..

    A trop de maux  en perdre les mots

    Il pleut toujours sur ses espoirs

    S’offrir au morbide pour en puiser l’aride

    Là dans cette galerie des regrets

    Couloirs aux illusoires tout se fait tard dans ce noir

    A blanchir tes nuits d’un livide écueil de mort

    Sans soif , tu lapes tel le chien errant

    L’infime d’une vie

    Trop petite , trop finie pour ce cœur meurtri .

    Shaka  


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