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    Des résolutions

    Au delà des tristes désillusions

    Juste un peu rêver encore

    Me réveiller dans un monde plus fort

    Rallumer le feu  des regards

    Le sang et les larmes aux dérisoires

    N’aimerais-tu pas aimer chaque jour

    N’as-tu pas oublié ce qu’est l’amour

    Entre les attentes  de promesses

    Disparaitre sous  des caresses

    N’attendez plus rien de ces tristes idiots

    Qui n’ont que faire de nos idéaux

    A nous vendre  l’état d’urgence et l’austère  

     Pour  protéger leurs propres guerres 

    Des sourires  et des je vous aime

    En réponse a leurs anathèmes

    Pour que leurs impossibles

    Soient le champ de nos possibles 

    Pour que leurs visions  alarmistes

    Nous ouvre les chemins  de l’utopiste 

    Pour que  nos rires et pas nos larmes

    Soient le rempart a leurs armes

    Pour que nos cœurs et notre liberté

    Ne soient plus, par les énarques, monnayés

    Que nos cris ne soient plus qu’un appel  a la vie

    Que nos cœurs  s’enflamment  quand l’autre sourit.

    Shaka


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    Il ne faut jamais laisser la souffrance

     Au cœur trop longtemps s’installer

    Puisque nos corps plus jamais ne frémiront 

    Sous les caresses de l’insouciance 

    Puisque s’est enfuie l’envie de vous aimer 

    Vous, qui m’avez tant donné 

    Puisque approche l’heure de la transhumance 

    Que les belles ont finies de faire tourner les tètes 

    De ces corps a l’orée de leur déchéance 

    Puisque le vieux rime plus avec grincheux

    Que la jeunesse se fatigue à vouloir l’éternelle

    Puisque dans la vie rien ne dure 

    Plus longtemps qu’une aventure 

    Que d’aventure ne subsiste que nos éphémères 

    Mélancoliques et belles sémaphores

    Sur le chemin las de ce monde  

    A l’humain perdu, fossoyeur des ses rêves 

    A ce cœur qui s’endort 

    J’aimerais tant vous dire 

    Qu’un jour je vous ai aimé 

    Mais que je n’ai pas voulu vous aimer. 

    Alors j’ai vécu, sans vivre

    J’ai rêvé au delà 

    Et je suis resté là 

    Au combat …..

    Shaka  

     

     

     

     

     

     


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    Et se promène les sanglots d’hier

    Les je t’aime de naguère

    Sur les ports ou les quais d’une gare

    C’est toujours mélancolie qui s’égare,

    Et puis les mots qu’on se dit

    S’aimer a mourir

    Simplement garder sourire

    Et les maux qu’on n’a pas dits.

    Savoir  l’odeur de la pluie

    Quand le bruit de ses pas qui s’enfuient,

    Nous étions  fous de l’autre, te souviens-tu

    Depuis le muscle ne bats plus

    Dieu que c’est beau la vie

    Quand c’est l’autre qu’on aime  

    Dieu que c’est triste la vie

    Quand on écrit son requiem

    Les choses qu’on a osé dire

    Les fleurs qu’on a pu offrir

    Si  les promesses  ne sont restées que promesses

    Si déchirure est plus béante que  nos confesses

    Triste amour, un matin, une  autre rive

    De nos amours ne restent que  le souvenir

    Et s’envole le cœur ou bien se meure

    Comme un triste navire resté a quai .

    Shaka

     


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    Pas de place dans  cette vie pour le silence

    Celui qui apaise, celui qui prend sens

    Le miracle en somme, serait de le partager

    Comme si les mots avait finit de briller

    Les mots comme nos traces

    Un jour aussi s’effacent.

    Y a  la route comme une blessure

    Bordée de chardons  et d’ordures

    Celle du fardeau et des regrets

    Celle qu’on ne finit jamais

    Et puis y a le chemin

    Celui qui vient des autoroutes solitudes

    Sinueuses, tortueuses, vides de plénitude,

    Et puis ya le chemin

    Celui du solitaire qui va au devant de soi

    Celui de ces nuits qui te guident

    Loin des tristes apparats

    Disparaitre des images polaroid,

    Rouvrir son propre livre

    Toucher du doigt, du cœur  l’ivre

    L’ivresse  de vivre,

    Respirer, pas à pas renaitre de soi

    Disparu le linceul glacial de l’effroi

    Vivre pour soi, avec soi.

    Shaka

     

     

    Te souviens-tu dans tes nuits blanches

    As-tu gardé  souvenirs 

    Des vents qui t’inspirent

    Te souviens-tu le cœur qui se déclenche  

    Pour du  faux, pour des insipides ……..


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    Coucher de soleil oublié

    Ne demeure que la nuit dans l’immensité

    A tort ou a raison

    J’aurais aime te faire perdre raison

    Je sais les chemins de traverse

    Les choix a faire pour mener a l’ivresse

    Et mettre sourires a tes lèvres

    Errer dans tes rêves

    Colorer le blanc de tes nuits

    Quand les monstres  ne sont plus que nos propres vies

    Dans le satin de tes nuits

    T’emmener au-delà du plaisir

    Flirter avec le sublime le divin

    Et te faire oublier tous ces tristes matins   

    Que tes yeux se perdent dans  l’horizon

    Et te faire découvrir d’autres  paysages que ces grises prisons

    Etre la flamme  qui brule dans tes yeux

    Etre ton trésor plus beau que celui de tes doigts  

     Roses, jasmins ou  chrysanthèmes

    Toutes les fleurs ne seront que poèmes

    Pour te dire  je t’aime


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  • A ce temps qui passe

    A ces traces qui s’effacent

    Au cœur sur l’asphalte

    On s’en fout que tu t’exaltes

    Pour un sourire, le profond d’un regard

    Tu finiras toujours hagard

    Parce que ton cœur s’enflamme jusqu'à bruler

    Parce que le bonheur comme le malheur

    Toi, tu les vis à l’excès jusqu'à en hurler

    Ton âme elle oscille entre certitudes et peur

    On  s’en fout du profond

    Les autres, ils ne veulent qu’aller au fond

    On s’en fout de  voir ses yeux dans l’horizon

    Les autres, ils ne veulent que soumission

    Et puis toi t’es bizarre

    T’as le cœur blizzard

    T’as le cœur noyé d’éphémères

    Et puis toi t’as les yeux de l’amer

    Toi tu cherches le cœur aurifère

    Quand les autres ne veulent que se la faire.

    Il est finit le temps des amours sincères

    Ne reste que de tristes ébats

    J’en ai finis de ces combats pour quelques émois.

    Shaka


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  • Au plus profond des yeux de l’enfant

    Au plus Haut comme le cerf volant

    Une nuit à la sentir s’élevée

    Une nuit à se sentir plus haut

    A vouloir une vie plus colorée

    A tire d’aile encore plus haut

    Seulement aux  grands vents, au céleste

    Je suis en bas, c’est ici que je suis quand le temps va 

    Le ciel bleu sans cesse devient gris sans éclat

    A l’immaculée finir la course du temps

    Au plus haut comme le cerf volant

    Prendre le temps, le temps du vent

    Une différente envolée

    Loin des volutes d’un monde désabusé

    Un dernier show, une dernière beuverie

    Ressentir encore une fois la vie

    Cœur lacéré, usé de ne battre que pour des insipides

    Revenir a soi, quand l’autre n’est plus qu’aride

    Laisser  s’épuiser les derniers mots

    Prendre un dernier envol pour oublier les maux

    Aussi haut que le cerf volant

    Et colorer encore quelques instants…..

    Shaka


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