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Aux heures d’espoirs, aux heures troubles ou le doute bat les certitudes parce qu’espérer n’est pas vivre parce que t’as beau faire les plus beaux rêves tu auras toujours cette vie ou t’ose rien, ou t’as la monotonie robotique désabusée. Inexorablement tu te vautre dans ton futur passe présent non t’as plus le gout, ni désir aussi pas plus que des envies …. Et ça gronde dansta tête combats incessants de questions réponses incertaines mais certainement conditionné pas ton émoi, ton ennui. Tu mesure la distance entre toi et le gris de tes murs, le diable a sa place dans ton enfer. Muet de sentiment, avare de parole, y a qu’a toi que tu peux dire tout ça , trop dur a accepter trop fier pour se dévoilé . Les larmes ont sonnées l’alarme, que ces vagues de peines t'entrainent aux abysses qu’on en finisse de ce triste. Et puis y a ces gens qu’on le sourire aux lèvres alors que t’as l’âme en peine, pour un peu ils pisseraient sur ta tombe non surement pas pour les chrysanthèmes. La différence se paie cash mon ami, t’es pas dans leurs standards, t’as pas leurs hypocrisies, leurs mensonges de façade plus sombres que leur béton. Allez va reste a ta place, si tu as une place dans cette univers, ouais je me verrais bien la haut a rire de voir ce qu’il font de ce monde , a pourrir la moindre beauté a coup de dollars , a détruire cette terre nourricière avide de leur profits , ouais je me verrais bien la haut sans seigneur parce que y a longtemps que j’y crois plus a l’espoir , a l’amour , au partage . Même si au fond de mon être détruit je garde en image la compassion de certain, la tolérance peau de chagrin, les étoiles dans les yeux de l’enfant ; tout ça se meure et je ne peux en être que plus triste encore .Les années bonheurs sont nos années d’insouciance avant que l’adulte ne tue l’enfant que nous sommes.
Shaka
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Y a comma un goût d’inachevé
Comme une mélodie qui s’est envolée
Comme une lumière qui se perd dans la nuit
Y a ces questions, ces doutes et ces envies
Cette envie de croire au meilleur
Que ce monde n’est pas que laideur.
Les chevaux dans les prés, les blés
Et des chemins sans voitures
Un soleil au zénith, a l’azur des rires enchantés
Et un amour sans torture
Des mains tendues vers autre que néant
Des cœurs ouverts sans raisons ni tourments.
A l’amer qui nous tue
Aux étoiles qu’on ne regarde plus
Le nez collé à ces bouffeurs de vie
Dis c’est quand qu’on s’enfuit.
Shaka
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Je n’ai que mes poèmes
A t’offrir en diadème
Le blanc de mes nuits
Pour t’écrire le beau de la vie
Je garde en moi le sombre de l’âme
Pour qu’a tes yeux ne naissent larmes
A ma main qui se tend
Ouvre ton cœur à tout vent
Il n’y a jamais de fin
On renait chaque matin
Au puissant de la vie qu’on veut pour soi
A ces instants plein d’émoi
Aux aubes dorées à venir
Au passé qu’on efface dans l’avenir.
Shaka
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Il n’y aura pas assez de nuits
Pour éteindre notre désir de vie
Pas assez de bombes pour noircir
L’étendard de nos envies
Et s’il faut plonger dans l’abîme
Que se soit le profond de ton intime
Là ferme les yeux
Là ignore ce monde ennuyeux
Ne cesse jamais d’étreindre l’azur
Les bras sont levés, crée ton futur
Un autre jour se lève sur le cimetière de ton passé
Les mots en écho, le cœur a finit de se briser
Vois plus loin que l’acide de tes sanglots
Vois plus haut que l’aride de ton enclos
Les fleurs du mal ont fanées
Laisse le soleil et les fleurs devenir ton été
Ouvre les yeux, le cœur a l’envie
Ouvre les yeux, les pleurs on finit
A ce triste passé ne soit pas enchainée
Sauf ce jour ou tu t’es réveillée.
Shaka
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