• Les paradis perdus

    Ceux qu’on ne croyait plus

    Sur les chemins du temps

    Sonne le glas de nos émois

    La vie a monté des murs

    Avec le temps, jusqu’à fissure

    Quand le mur suffit plus, ne sera jamais assez haut

    Dérive  mélancolie, remords et regrets   , trop.

    A rester au fond de soi

    Personne n’y viendra

    Peur, pleurs et les heures  silence

    Le décor change, pas l’abstinence

    De toi.

    Shaka


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  • Alors il traîne aux vents, les épaules basses  lasses du fardeau  d’une vie perdue, il aurait voulu  aimer autant que ces mots l’expriment, avoir besoin d’elle comme la lune du soleil, à la fleur de ses nuits d’un sourire illuminer son ciel, d’un  navire échoué  lui offrir le plus beau des voyages.

    Ces écorchures, cette armure qu’on se met  à vider le cœur, d’un libertaire sans drapeau  d’un cavalier sans tète  ce ciel n’est pas si divin, quand rien ne guérit pas même l’oubli. Les jours de fêtes qu’on veut oublier, les rives s’échappent comme l’oiseau qui a perdu son nid, sans attache sans quai ou poser valises.

     Toi la fille du pays de Ferry on apprends pas a l’école  ce qu’il faut pour aimer, on apprend pas  comment aimer, on nous donne les mots mais souvent on obtient des maux. En mémoire, cartésien  ou confus le cœur se nourrit de nos blessures de nos erreurs  faut il atteindre la mort pour savoir aimer, aimer à la force d’un volcan autant qu’au calme d’une mer d’huile. Et si revoir ces conceptions de concessions d’adoration  sous le vent des amers des chimères on laissait le vague a l’âme s’essouffler   comme un feu de joie  s’éteint  dans l’indifférence parce que les invités sont partis.

    Je n’ai pas su t’ouvrir la porte sur un autre monde, te faire voir  Venise d’un baiser dans le cou, jusqu’a bout du monde  vivre les impossible. Quand mes pensées s’enfuient vers toi  c’est mon ciel qui flamboie  parce que c’est toi mon  inconnue. Et jusqu'à bout de souffle, jusqu’à bout de vie, pour espérer  une place dans  tes bras.

    Shaka


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  • Rien ne finit  tout recommence

    Dans l’abstinence ou  l’opulence

    J’aurais de toi des instants  passé

    Volés, partagés, saveurs sucrées

     Ce gout  d’inachevé

    Quand je n’ai su t’aimé

     

    Imparfait dans mes mots

    J’y ai mis les maux

    Mélancolie  de  petits bonheurs

    Comme dans  une imagerie ,me  reviennent en mémoire

    Promenade complice, et cette tendresse  sans  déboires,

    Mon cœur a perdu la raison, la raison a fauté

    Cette peur viscérale de l’autre a gagnée

    Je t’en demande pardon

    A toi que je n’ai pas oublié…… R  

    Shaka


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  • Dans le bruit on oublie

    Ce qui fait l’amer

    Dans le silence on se souvient

    Le regard  qui se perd

    Au  sombre de ces jours

    L’envie s’ennuie puis s’enfuie

    La solitude sans contour

    Et puis s’en va la vie

     

    Shaka 


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