• les mots se font rares 

    les silences comptent aussi 

    le silence est un véritable ami qui ne trahit jamais
    Confucius

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  • Le sang versé, la mine  cassée

    Tragique, le libertaire à genou

    A l’encre de leur sang ne pas se taire

    Meurtriers  éteints, la liberté se tient debout.

    Shaka


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  • Le corps épuisé d’attendre

    A la porte de tes nuits

    Au delà des sanglots 

    D’un sinistre mélo

    A se débattre dans les tourments mélancoliques

    Pour une clarté jusqu'à l’ultime lueur  

    A fuir le brouillard des  insipides

    Se laisser tenter, pour un rêve pour un éphémère

    Qu’importent nos choix, si l’instant explose

    Si l’instant c’est hier, jamais demain 

    Tous ces moments là qui encombrent les bras

    Qui te noient le muscle, qui au final te laisse seul

     Et puis y a l’acide et l’aride et ce décor qui se ternit

    Emmitouflé dans le linceul des regrets 

    Au gré des heures figées qui s’effacent

    Si je pleure, si j’implore, si je prie

    Qu’arrivera t il d’autre que l’écho de mes plaintes  

    A rester dans le noir, y graver  mes espoirs

    A vomir ce cafard, y rêver  d’un regard 

    Et coule l’encre comme larme d’espoir,

    Comme instant de vie, copie de nos libertaires envies

    Transi  à  la porte de tes songes, je m’oublie.

    Shaka


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