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Courant d’air sur les certitudes comme feuilles d’automne se brulent et s’envole , le bonheur comme but , ouais le but c’est le chemin :mon dieu qu’il est tortueux , comme appeler ça du bonheur , si vivre de souffrance ,d’absence, d’illusions , d’éphémère, de futile suffit a toute une population lobotomisé par ces coups sans cesse répéter d’une hiérarchie qui doit bien se marrer de les voir tristes moutons (souriant d’hypocrisie) a suivre le puissant berger consommant jusqu'au bord des abysses . Mener le troupeau pour la traite n’a jamais été aussi lucratifs aussi aisé. Les énarques et autres érudits avides ont oublié ceux qui les nourrissent, ceux par qui leur rémunération (parfois indécente) est possible.
Et puis que dire de ces besogneux, qui pour se sentir vivants n’ont d’autre occupation que de se parer du parfum n°5 pour elle et de la dernière PS pour lui, a jouir hypocritement de ce futile, matérialiste extrême preuve d’un statut social ou le social a disparu, ou l’autre n’existe que pour lui faire biller ce que l’on croit posséder. Ces gens qui pour se sentir humain s’offusque ou s’attriste de la pauvreté dans le monde tout en restant a distance de ceux d’en bas, des fois que cela soit contagieux, des fois que ces manants ai des vues sur leur biens.
L’idéal bonheur est devenu égoïste, les sentiments se sont perdus dans les courses aux échelons du pouvoir, ceux qui par chance (ou malheur c’est un avis recevable) arrivent à gravir les marches du palais des richesses ne regardent plus en arrière, ne regarde pas ceux qui reste, oublient ou ne veulent pas se rappeler d’où ils viennent, réaction bien compréhensible mais oh combien égoïste.
Bien connu votre pensée, un brin jaloux penserez vous, que nenni faisant partis de ceux d’en bas ayant gravit quelques marches, j’aime a contempler le chemin parcouru, retrouver les racines, sans envie matérialiste (là entendez vous râlez les enfants …).
Le bonheur ne se trouve pas dans ces choses qui paraissent mais qui isole, j’aurais aimé un monde d’échange autre que commercial, d’humain autre que des âmes sans visages ni cœur, des paroles posées, des verbes doux, des écrits sincères, des vivants au plaisir d’être juste là ensemble.
Shaka
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Je voudrais partager tes nuits pour me sentir en vie
De baisers mouillés en paroles oubliées
Regarde tes souvenirs s’envolés
La vie sans remords ni regrets
Y a ces choses qu’on a vécu
Ce profond dans nos yeux comme un ciel de juillet
Et puis ces choses auquel on n’a pas crus
A nos souffles coupés, à nos cœurs enflammés
Regarde tes instants bonheur se perdre dans l’immensité
On est tant à courir pour sortir du brouillard
Question de survie, comme si on ne pouvait sortir du boulevard
Cette voie, sans issue, sans but, juste avancer
Parce que quoique tu fasses, quoique tu tentes
Y aura toujours au fond de toi, comme un cancer, cette attente
Cette attente, d’exister comme un sourire, comme un soleil
Apres tout à la fin de chaque nuit y a toujours un réveil
Que les meurtrières des nos blessures s’effacent
A ces mains levées, toucher les étoiles, être une étoile
Parce qu’une étoile tu la regarde de face
Parce quand le sombre de la nuit c’est la lumière de nos espoirs
Pour qu’il y ait un matin soleil qui suive nos nuits blizzard
Shaka
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Montrez-moi l’arc en ciel de vos cœurs
Pour que le mien sorte de sa torpeur
Aux champs des impossibles verser larmes et illusions
Que repousser les possibles devienne raison
Parce que le monde change, rester dans l’instant
Pour que passé futur n’enferment le fuyant
A ces autres sourires, à ces visages avenants
Aux masques portés pour cacher tourments
Offrez-moi le sourire de vos cœurs
Ce sourire qui guérit les plus grandes douleurs
Donnez moi le sincère pour effacer les éphémères
Faites jaillir le vrai pour que disparaisse chimères
Je ne mendie point le meilleur de vous
Je vous convie seulement à être vous
Shaka
9 commentaires -
Faudrait qu’on ose se voir
Faudrait qu’on ose se parler
Parce que parler c’est illuminer nos nuits
Parce que voir c’est faire des souvenirs
Des clichés, photos inconscientes
On laissera le temps faire le zoom
Réglages, pixels, iso,
Du moment qu’on est là vivant
Faudrait ton épaule ou ta main
Que je puisse y poser la mienne
Faudrait qu’on soit la vie
Pour dire merde a la vie
Faudrait trouver l’important dans nos mots
Faudrait effacer l’important de nos maux
Parce que rien finalement n’est important
Parce que ce qui est derrière ne sera jamais plus
Parce que devant te fais peur
Faudrait croire peut être en l’espoir
Jeter aux vents l’amer de nos illusoires
Parce que ta solitude n’est que le mur de tes douleurs
Faudrait se convaincre qu’il existe ce putain de bonheur .
Shaka
6 commentaires -
L’important ce n'est pas ce qu'on lit , ce qu'on écrit
L’important est ce que l'on vit
Que la page soit blanche
En es tu certain ?
J’y vois le temps en pause
Trou noir blanc d’encre et de lumière
Que du vide relatif jaillisse l’immaculé du sombre
Ce qui parait visible pour certain
N’est pour d’autre qu’un triste calepin.
Shaka
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