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    Ne craignez point pour mon âme

    Y a longtemps qu’elle s’est perdue

    Je m’en suis accommodé, sans plus de larmes

     Le noir, non ne m’effraie plus

    Moi je peux voir dans mon désert,  des fleurs

    De ma pénombre j’aperçois vos lumières

    Jamais l’aride n’a donné tant de douceur

    Guidée, ma vision n’en ai que plus claire.

    Ma réalité s’arrange de mes utopies

    Sans que j’y trouve dans mon cœur le mépris

    Et si ton cœur est éponge, le mien est océan .

    Mes déchirures sont mes armes  protectrices

    Sans armure, dans l’acceptation de l’instant

    J’ai appris l’essentiel sans vices

    Juste témoin d’une étoile qui se meure

    A force de pouvoir et de peur.

    Des rêves en partage……

    Shaka


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    Changer de vie   pour fuir en avant .Pour laisser le présent au passé ; fuir le miroir compagnon de nos déchirures, attendu que rien ne nous attend ni personne …..

     Protectionnisme égoïste d’un monde de million pour n‘être qu’un. Vas y abreuve les de complaisances, ceux qui jouissent d’opulence, j’ai comme un gout d’amer.

    Pleure douce symphonie, à mes oreilles qui ne résonne que le glas de mes insomnies, diffuse en moi ta douce quiétude, explose mon conscient de tes notes, l’émotion unique de tes accords, unique et pourtant  ensemble  comme deux mains qui se lient, des sourires échangés, un soleil  partagé. Chaque notes trouvant compagnie, comme le grain de sable sa dune. Majeurs ou mineurs que tes accords ne deviennent  que douceur à fondre le cœur. Plaidoirie sonore pour un monde qui s’endort , les cordes d’une guitare à celle de l’arc meurtrier , le boum de la batterie a celui d’une bombe , le choix est inscrit dans vos déclarations celle qui donne des droits aux hommes mais qui lui petit homme  ils sont passé ou  ses devoirs de conscience et d’humanité ….    

    A vos discours bienséant,  bien pédant, le pipo comme instrument vous sied à ravir, entretenir l’aliénation par mon rejet de vos  idéaux matérialistes egocentrique, non le centre du monde n’est point votre nombril. A vos désirs de pouvoir je blasphème mes utopies, être heureux de rêver quand vous êtes triste de ce que vous n’avez pas..

     

     

    Allez chante encore, ritournelle a faire ribambelle. Enivre de tes sons  les demoiselles, mets des sourires sur le visage de tous les enfants, tourne le manège de cette vie qui fuit vers son néant.




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    Une musique comme un fil conducteur comme un lien vers une sensation ,vers une émotion sans contrepartie sans attache, douce mélodie qui nous éloigne (l'espace d'un instant) de nos vies ,des nos soucis .Nous pousse à chaque note un peu plus d'ailes pour survoler le superficiel , pour se baigner d'essentiel ;N'avons nous pas chacun notre répertoire comme une malle au trésor qu'on se plait a parcourir les jours de mélancolie , n'avons nous pas notre "playlist" pour chaque instant de vie. Baigné de son, de saturations , ou de symphonie doucement lentement à l'abandon nous glissons vers une perception divergente d'un monde de silence ou d'exubérance. Il faut parfois une vie pour apprécier certaine chose quand une note suffit à déclencher en nous multiple émotions.  



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  • Là posé devant soi comme une offrande, ces futiles heures  

    Passées à combattre nos chaines et nos rancœurs

    Constat d’échec cuisant  d’une partie de vie

    Réalité sans fard ni paillette au crépuscule de nos envies,

    Les étoiles dans les yeux n’ont brillées

    Que le temps  de tous ces premiers

    Ces instants  où l’on découvrait

    Ces instants de nos invincibles

    Où l’on se disait qu’il n’y aurait plus de jamais  

    Où  nous étions souriants indivisibles,

    A croire que rien n’arrête l’Amour de grandir

    Et puis il y eu nos premiers soupirs

    Imperceptibles  comme une brise avant les orages

    Intime au plus profond comme un outrage,

    Douleurs croissantes de nos incompréhensions

    Tout  parait nauséeux quand le cœur  pour l’autre ne bats plus

    Régal de l’hideux quand ne nous parcourt plus le moindre frisson

    Diffamations  de ces  mots qui s’écoulent  comme le pu,

    Le long fleuve devenant soudain torrent, de boue

    Jusqu’au naufrage du bateau ivre sans proue

    Ce bateau qu’on voulait croisière

    Ne nous restait qu’à atteindre chacun son ile

    Et comme un robinson  vivre au mieux  nos galères

    En nos âmes et sans conscience  du chemin  fragile,

    Et le temps, ce temps parfois qui dure, à ouvert ses portes

    Pour y enfermer ce passé mélancolie, ces tristes cohortes

    Les armées des remords  s’en sont allées

    En laissant un horizon presque immaculé  

    Une vie a croire pour un instant d’évidence

    L’Amour n’est qu’un mot  qu’on vit parfois avec négligence.

     

    Shaka   

     

    Tu sais ce que c'est la mélancolie?

     

    Tu as déjà vu une éclipse ?

     

    Eh bien c'est ça : la lune qui se glisse devant le cœur, et le cœur qui ne donne plus sa lumière...

     

     


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     Schiller - Summernight


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    J'aurais aimé t'aimer Comme on aime le soleil

    Te dire que le monde est beau

    Et que c'est beau d'aimer

    J'aurais aimé t'écrire Le plus beau des poèmes

    Et construire un empire Juste pour ton sourire

    Devenir le solei pour sécher tes sanglots

    Et faire battre le ciel Pour un futur plus beau

    Mais c'est plus fort que moi Tu vois je n'y peux rien

    Ce monde n'est pas pour moi Ce monde n'est pas le mien

    Damien Saez .


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  • Revenir d’un voyage sans chemin

    Revenir  pour crier silence

    Plus que pour expier ces maux

    Revenir comme on relit les mots

    Sans chercher à comprendre pourquoi

    Sans chercher trace autre que soi

    Revenir d’une nuit qui  a perdue son soleil

    D’un jour qui jamais ne se lève

    D’un ciel gris ou noir

    D’un horizon sans regard  

    Revenir de n’avoir été personne

    Avant qu’a l’eternel le glas ne sonne

    Revenir a ce qu’on donne

    Plus qu’à ce qui nous assomme

    Revenir à la fleur plus qu’a nos racines

    Pour que parfum enfin se dessine

    Senteur printemps, ombre de mélusine

    Qu’à chaque pas les monts arides se déciment

    Revenir puisqu’un jour

    Il faut bien repartir.

    Shaka 


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