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Par shaka65 le 19 Septembre 2013 à 21:04
Parait qu'on a la vie devant nous, que la jeunesse c'est la vertu
L'amour sans rendre fou, on en a qu'un et je l'ai perdu
Au fond du sablier du temps, t'es pas venue, j'ai trompé
Et mon coeur s'est trop battu, ramène moi.
Qu'il est loin le temps des amours, le temps des coeurs qui se sert
Loin des filles que l'on sert fort contre sois
Au croissant, au lever du jour, quand s'aimer à la marelle
Les camarades pour toujours, quand et quand tu reviendras..
On se quittera tous un beau jour, on reviendra sur nos discours
On croira qu'on a tout compris, on aura rien compris du tout
On sera riche, rois de province, on sera pauvre et sans le sous
Puisqu'avec les copains d'avant, on sera tous mort au bout
On se dira jamais vieillir puis on finira tous vieux con
A regretter ce qu'on a perdu, celle qu'on aimait qui n'est pas venue.
Quand on avait les dieux au corps, quand on savait tromper la mort
Quand on mettait le doigt bien haut, bien profond!
Au temps des bals, des lycées,
Au temps des rêves, des amitiés,
Au temps où on s'aimait, qu'importe
Au temps des lettres sous la porte
Au temps des filles dans les bagnoles
Au temps des murs et des alcools
Au temps des rasoirs aux poignée
Au temps des jeux de nos amours
Au temps où "c'est beau et c'est tout"
Au temps du feu brûlant toujours
Au temps où chaque fille est un port
Au temps des dieux, des diables au corps
Au temps où l'on a peur de rien,
Au temps où rien n'est impossible
Au temps ou l'on aime ses copains à coup de lance pierre sur les chemins..
Les avions qui passe au dessus de nous
Les visages qu'on a croisé qu'on a perdu
Les gens qu'on a aimé et qu'on aime plus
Les yeux qui séche, le temps qui passe
Les amis qu'on a laissé derriere
La vie qui perd de ses mysteres
Les évidences qui vous lacère et puis qui tue
La beautée des filles quand elles sont nue
Les liens du sang qui nous tiennes aux coeurs
Les croix qu'on porte et la chaleur de vous mes frères tenant l'espoir
A bout de bras les jours de gloire
Les parfums qu'on ne connait plus
Les filles qu'on a jamais revue
Les jours de fêtes et les bals des lycées
Celle a qui on a jamais parlé
Ouais tout ce que la vie a emporté
Le muscle qui n'arrête pas de saignée
Les choses que l'on ne peut pas refaire
Tout ce qu'on aura laissé derrière
Les poussières et puis les rubis
Les amis aux fond des nuits
Dans les gorges des filles, oui tout s'oublie
L'hémorragie de nos mélancolie
Un jour bientot face à la mort
Nous reviendront à la mémoire, toutes ces choses que j'ai oublié
Ouais puis toi que j'ai aimé
C'est toujours face à la mort, nous reviennent à la mémoire
Celle avec qui on a dansé les jours des fêtes, les bals des lycées.Damien Saez
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Par shaka65 le 27 Janvier 2013 à 15:35
Il y a ton sourire qui s'élève
C’est comme une lueur d’espoir
Il y a l’ombre et la lumière
Au milieu notre trajectoire
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi la pluie
Acide à s’en brûler le cœur
Pourvu que planent les esprits
Il y a tes yeux qui me tuent
Quand tu me dis que c’est fini
Il y a le vent de nos sanglots
Qui souffle pour une amnistie
Mais rien n’arrêtera la lutte
Rien ne séchera cette pluie
Non rien ne finira la chute
Car rien ne finit l’infini
Rien ne desserrera nos mains
Rien n’éteindra l’éphémère
Nous forcerons, nous forcerons nos destins
Puis nous perceront les mystères
Il y a les lois de l’empire
Et les trous noirs dans ma mémoire
Il y a le meilleur et puis le pire
Au milieu notre trajectoire
Combien tu vends ta liberté,
Dis, combien tu vends ta poésie
Moi j’ai même vendu mon âme au diable, pour ton sourire
Puisque tout est aléatoire
Dans le chaos des univers
Puisque insoluble est la réponse
Et puisque déjà me manque l’air
Et qu’importe les directions
Jusqu’au delà de la limite
Tous les chemins mènent à tes yeux
Tous les chemins mènent à la fuite
Rien ne desserrera nos mains
Rien n’éteindra l’éphémère
Nous forcerons nos destins
Nous perceront les mystères
Rien ne desserrera ces poings
Univers, univers
Nous retrouverons nos chemins
Nos idées puis l’univers
Il y a ton sourire qui s'élève
C’est comme une lueur d’espoir
Il y a l’ombre et la lumière
Au milieu notre trajectoire, oui
Il fallait choisir une route
Alors on a choisi les pluies
Acide à s’en brûler le cœur
Pourvu que planent les esprits.Damien SAEZ
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Par shaka65 le 27 Janvier 2013 à 15:28
Le ciel ne sera plus jamais
Aussi noir qu'il n'est aujourd'hui
Comme un soleil ensorcelé
Tes yeux se perdent dans mes nuits
On n'était pas du même monde
Mais qu'est-ce que ça fait maintenant
Puisque les anges et les colombes
Se sont enfuis avec le vent
Depuis que t'es montée là-haut
Les anges n'ont jamais été plus beaux
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop
Et la lumière viendra, éclairer ces ténèbres
A la lueur du feu, qui s'éteint déjà
Et toi tu partiras, et moi qui suis là
Si tu veux de moi, si tu veux de moi
Et je t'emmènerai loin de ce monde,
Et je remercierai DIEU de t'avoir fait,
Et les bras vers le ciel, je te tiendrai la lune
Si tu veux de moi, si tu veux de moi
Et si un jour la mort nous séparait,
Promis, là-haut, moi, je t'attendrai
Et sur tes nuits je veillerai,
Comme une étoile, comme une étoile.
Paraît que t'étais une princesse
Moi je n'en ai jamais connue
Juste des larmes et des détresses
Et ma chanson un peu perdue
Si un jour tu veux redescendre
Sache que mon coeur est ouvert
Et qu'il saigne à n'en plus comprendre
Où est l'eden où est l'enfer
Depuis que t'es montée là-haut
Les anges n'ont jamais été plus beaux
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de trop
Depuis que t'es montée là-haut
Ici moi je me sens toujours de tropDamien SAEZ
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Par shaka65 le 22 Janvier 2013 à 21:08
A la fleur de mes nuits
Aux amoureux dans l'incendie
A tes yeux qui salivent
A ces choses qui arrivent
Aux horizons du soir
Pourquoi pas à l'espoir
A ces vins qui tiennent chaud
A nos ivres, aux bateaux
Au plaisir du désir
De tout quitter sur un soupir
Aux adieux, aux toujours
Aux promesses, aux amours
Aux noirceurs à nos cœurs
Aux lueurs à nos peurs
A ton cœur fatigué
A nos travers de liberté
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
A nos bouches essoufflées
A trop les embrasser
Au bistrot résistant
Aux alternativ-enfants
Aux violettes, au printemps
Aux obscurs, aux arborescents
Aux navires échoués sur les trottoirs condamnés
A ces chants des esclaves
A ces océans sans rivage
Aux enfants de Truffaut
A nous les fils d'Artaud
Aux amours sans chapelle
Aux nuits à bouffer ton fiel
Au coin des abats jours
Aux armes de nos amours
A nos sangs littéraires
A nous deux, à la terre
Au siècle, aux sans talents
Aux gloires pour des quarts d'heure de temps
A ton parfum de spleen
A s'aimer sous le chant du signe
Aux sens des écritures
Au fil des littérature
Aux pays sans frontière
Aux coups de marteau sur les nerfs
Aux armées, t'oublier
A nous les désespérés
A nos cœurs égorgés
A nos corps embrassés
A nos corps écorchés
A nos cœurs embrassés
Le jour se lève et je ne vois
Que le silence aux horizons
Dans le jardin de mes enfances
Je crois qu'il est mort le pinson
Sûr ça ne sera pas rose
Mais les écorchés voleront
Écarterons le souvenir
D'un pinson dans le lointain
Suivons le chant du vent des plaines
Qui nous mènera au printemps
Mais qui sait sur le chemin
Chanter le chant des partisans
Nous serons fiers nous serons humbles
Et notre sang sera du vin
Des amours pour soigner la terre
Des infinis contre le rien
Ami viens te joindre à la table
Non c'est pas celle du roi
Les amis sont solidaires
Et mon amour sera pour toi
Et vagabonde et soleil noir
Loin des villes sans lumière
Garder au fond un espoir
Celui du loup dans les clairières
Notre étoile a le gout du souffre
Mais elle éclaire comme un millier
Des chandelles en processions
Des oriflammes à l'horizon
Ouais levons nous sous les grandes ourses
Non nous ne sommes pas funéraires
Nous sommes fils de la renaissance
Sous le drapeau des libertaires
Sous le drapeau
Sous le drapeau
Des libertaires
Des libertaires
Des libertairesDamien SAEZ
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